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- C.
difficile : coproculture → colite
pseudo-membraneuse ou de diarrhée
post-antibiothérapie (attention : portage chez 3% de la population et
50-70% des enfants de moins de 2 ans)
- C.
perfringens : infections des plaies,
septicémies, pneumonies nécrosantes,
entérocolites, cholecystites
- C.
botulinum, C. tetani : laboratoires
spécialisés |
d |
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Gélose au sang en anaérobiose
- C. difficile : milieux enrichis et sélectifs tels que CCFA (Cyclosérine,
Céfoxitine, Fructose, jaune d’œuf) ± taurocholate de
sodium (favorise la formation de spores), en anaérobie
stricte → colonies à bords irréguliers, non
hémolytiques, odeur caractéristique de crottin de cheval
- C. perfringens : milieu TGY (double
hémolyse) ou milieu TSN (Néomycine, Polymyxine, citrate
de fer) |
d |
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- C. difficile : gros bacille Gram +, anaérobie strict,
mobile et sporulé (spore sub-terminale,
ovale, déformante)
-
C. perfringens : gros bacille Gram + immobile, non sporulé,
capsulé
- Catalase
– |
d |
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- C. difficile :
- Recherche des toxine A (entérotoxine) et B
(cytotoxine) sur les selles (voire sur la
culture) : ELISA, Immunochromatographie, PCR
…
- Recherche d’antigène dans les selles
(glutamate déshydrogénase)
- Endoscopie
- Typage phénotypique ou génotypique
- Moxifloxacine R et Erythromycine R
orientent vers les souches O27
hypertoxinogènes |